Dans cet article je laisse la parole à un invité, Théo Moreau, fondateur de Goodbye Porno, pour qu’il vous parle de sa dépendance sexuelle, des dangers du porno, et de la dépendance au porno (et par extension de la dépendance à la masturbation). Théo était porno addict, et il a réussi à soigner son addiction au porno. Il souhaite ici prendre la parole et vous partager son expérience de vie en tant que sex addict. Découvrez avec lui comment une trop grande consommation de films porno a impacté sa vie, puis apprenez avec lui comment arrêter de regarder des films X. Aujourd’hui, Théo est fier de vous dire qu’il a réussi à arrêter le porno.
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Comment je suis devenu porno addict : témoignage
D’un besoin naturel à la masturbation compulsive
Il est 19h, j’ai terminé de travailler et je suis fatigué. Je m’assois devant mon ordinateur, l’allume et commence à surfer sur les réseaux sociaux. Je fais défiler le fil d’actualité sans vraiment m’attarder en détail sur le contenu, mais tout d’un coup, je m‘arrête sur une photo. Une femme, blonde, en sous-vêtements qui pose devant son miroir en faisant ressortir un fessier bien en forme. « Qu’est-ce qu’elle est belle et attirante, me dis-je, je veux savoir qui est cette femme ». Alors je clique et découvre son nom. Ni une ni deux je le copie-colle sur google image qui me donne accès à un album photo illimité de ma charmante demoiselle. Ses formes sont vraiment à croquer. Je rajoute « sexy » à côté de son nom, et me voilà augmenter le niveau d’excitation face à des images plus érotiques les unes que les autres. La tension monte.
Je commence à poser ma main sur mon entre-jambe qui m’envoie des signaux d’appel. Je continue de parcourir les photos d’une concentration plus fine que les meilleurs joueurs d’échec pourraient envier. Plus rien n’existe autour de moi, je suis aspiré par la beauté de cette femme. L’excitation s’élève de plus en plus, mais il m’en faut davantage. Je rajoute « nue » à côté de son nom. Quelques photos s’affichent, mais cela reste encore très soft. Je veux plus. Donc je décide de rajouter « sextape » à côté de son nom. Mais rien ne s’affiche. Frustré, je choisis alors de taper dans la barre de recherche le nom d’un site porno que je fréquente régulièrement.
L’abondance et l’accès à la pornographie
Me voilà rempli d’une grande excitation. Je rentre dans un univers où l’extase et la jouissance sont omniprésentes. J’ai déjà oublié ma charmante demoiselle, car maintenant des milliers de femmes sont disponibles pour moi, prêtes à assouvir tous mes fantasmes. Je clique sur une vidéo. La scène commence, mais je ne peux pas m’empêcher de regarder si d’autres vidéos pourraient m’intéresser. Alors je cherche, et j’en trouve une autre, puis une autre, puis encore une. Je me retrouve avec 5 onglets ouverts faisant tourner pour chacune d’entre elles une vidéo. J’entends des cris partout, le sang commence à monter dans ma tête et à affluer dans mon sexe. Après avoir parcouru en diagonale toutes les vidéos, je décide de choisir une en particulier, car je sais qu’elle va me procurer le meilleur orgasme. Et ça n’a pas traîné. Il m’a fallu moins de 20 secondes pour jouir.
La prise de conscience de mon addiction à la pornographie
Immédiatement après, je ferme tous les onglets et me précipite sur ma boite de mouchoirs pour nettoyer tout ça. Et en les jetant dans ma poubelle, j’aperçois ceux que j’ai utilisés plus tôt dans la matinée pour me masturber avant de partir travailler. Un sentiment amer s’empare alors de moi. Je viens de jouir, de trouver un plaisir intense et profond, je devrais donc être satisfait et comblé ? Mais non. Je me sens impure, vide de sens, coupable et un peu plus fatigué qu’avant. Je décide de ne plus penser à tout cela et d’aller vaquer à mes occupations pour mettre fin à cet épisode. Pour ne pas à avoir à subir cette frustration et pour oublier que la même scène se reproduit toutes les semaines depuis des années…
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La dépendance au porno fait-elle partie de mon ADN ?
Pulsion porno et puberté
J’ai baigné la majeure partie de ma vie dans le monde de la pornographie. A partir de mes 13 ans, je devais consommer au moins une dose de pornographie par semaine. Du moins, ça c’était au début. Car au fur et à mesure des années, j’augmentais sans cesse ma consommation. Lorsque j’étais adolescent, je pensais que mes masturbations régulières étaient naturelles, car j’étais en pleine puberté. J’utilisais le porno comme un outil qui me permettait de découvrir ma sexualité et de satisfaire mes pulsions sexuelles. Je ne me suis jamais demandé “est-ce que je regarde trop de films X?”. L’interdit, la facilité d’accès et la diversité des contenus me persuadaient facilement de continuer à en consommer. En tout cas, personne n’allait à l’encontre de cette idée, et je ne me considérais pas comme un obsédé sexuel ou un sexe addict, car mes amis se vantaient fièrement d’en regarder.
Alors pourquoi ne pas en faire autant ? Et pourtant, plus les années passaient, plus je gagnais en maturité et en capacité à me remettre question. Plus je grandissais, plus se masturber devant un porno devenait un rendez-vous quasi-quotidien. C’était devenu aussi normal que de manger, de dormir ou de me brosser les dents.
L’accepter : ” je suis porno addict “
Vers la vingtaine, après avoir vécu des années sans vraiment avoir été comblé et satisfait de la personne que j’étais, j’ai décidé de changer et de travailler sur moi. Je me suis mis à faire beaucoup de sport, à me former en séduction et à travailler sur mes compétences personnelles et sociales. J’ai bien évolué grâce à tous ces efforts, mais je vivais tout de même dans un mal-être profond qui ne voulait pas partir. Me posant toujours plus de questions sur ma vie et mes choix, j’ai finalement porté mon attention sur mon obsession au porno. Je ne comprenais pas pourquoi à chaque fois que je regardais un film X je culpabilisais et j’avais honte. Qui plus est, je me masturbais de plus en plus souvent. Certains jours, je pouvais jouir jusqu’à 4 fois !
Je me suis demandé « est-ce que je suis accro au porno ? et est-ce que je suis accro à la masturbation, aussi ? Ou bien simplement pas assez raisonnable ? ». Alors j’ai fait des recherches sur l’addiction à la pornographie en tapant « comment arrêter le porno », et j’ai compris que je n’étais pas le seul dans cette dépendance sexuelle, que la pornodépendance existait réellement et que l’on pouvait être porno addict. D’autres hommes étaient victimes de la drogue porno. Regarder du porno, c’est un peu comme manger une bonne pâtisserie. C’est très satisfaisant sur le moment, mais le plaisir ne dure pas. Et quand on en abuse, on culpabilise.
Je ressentais vraiment de l’impuissance face à ma consommation de porno. Prenez l’image d’un un lion qui bondit sur une gazelle qu’il a prise pour cible, remplacez le lion par moi-même et la gazelle par le porno et vous avez un parfait exemple de mon comportement lorsqu’une envie irrésistible de me masturber devant un porno se déclenchait en moi.
J’ai essayé d’arrêter le porno mais…
Mon problème, c’est que j’en ai abusé. Mais le porno est une drogue. J’aurais pu me dire que j’en regardais un peu trop et qu’il suffisait que je diminue ma consommation. Mais non, j’étais convaincu que j’étais porno dépendant, addict au porno. Comment je le savais ? J’ai essayé d’arrêter pendant 1 mois, et ça a été la catastrophe. J’ai ressenti les mêmes symptômes que pendant le sevrage d’une addiction (je sais ce que c’est car j’ai été fumeur autrefois). Je ressentais beaucoup d’anxiété, mes pensées et mes pulsions étaient régulièrement redirigées vers le porno et la masturbation et je vivais des mini-périodes de dépression.
Bref, tenir un mois sans me masturber devant un porno était insupportable, alors j’ai compris que j’étais bel et bien accro à la pornographie. J’ai longtemps hésité avant de reconnaître que j’étais pornodependant. Mais finalement lorsque je l’ai accepté, je me suis libéré d’un poids. J’avais honte de m’avouer cela, mais j’étais aussi rassuré de comprendre que si je n’avais pas la vie que je voulais et que je n’attirais pas les femmes que je désirais, c’était peut-être à cause des méfaits du porno. Et d’un autre côté, ce qui me remplissait d’espoir, c’était de savoir que si je trouvais comment arrêter de regarder du X, j’allais certainement me transformer et devenir quelqu’un de meilleur. J’étais déjà excité à l’idée de changer.
Comment savoir si on est porno addict ?
La vie sexuelle du porno addict est fade
Quand j’y pense, j’aurais dû y voir clair plus tôt pour m’éviter de nombreuses souffrances ! Car pendant toute ma vie, mes relations sexuelles étaient de très mauvaise qualité (de mon côté en tout cas). Je ne trouvais pas de plaisir physique et émotionnel pendant l’acte sexuel. La relation me satisfaisait uniquement lorsque je voyais ma partenaire prendre son pied. Mais encore là, ce n’était qu’un jeu avec mon égo qui se sentait gonfler grâce à mes « exploits ». Donc finalement, je prenais du plaisir non pas dans la satisfaction de ma partenaire, mais dans le succès de ma performance. En plus mon excitation était beaucoup moins stimulée qu’avec un porno. Il m’arrivait même de penser que faire l’amour, ce n’était pas si extraordinaire que ça.
J’étais tellement habitué au film porno qu’il pouvait m’arriver de ne pas réussir à avoir une érection au début d’un ébat, ou bien de la perdre pendant. Mon addiction au film porno avait conditionné mon excitation. J’étais tellement programmé que je n’arrivais pas à éjaculer avec une vraie relation sexuelle, et ce même si je décidais de m’aider avec ma propre main. Qui plus est, mes mouvements étaient mécaniques et vides de sentiments, d’intention et d’émotions. Bref, un copier-coller du comportement des acteurs porno.
Un danger du porno : la perte de ma vie sociale
Au-delà de mes troubles sexuels et de mon incapacité à avoir des relations sexuelles « saines » et épanouissantes, j’ai réfléchi à ce que ma dépendance au porno pouvait avoir aussi causé dans ma vie. Et ce que j’ai découvert m’a fait froid dans le dos. Je me suis rendu compte que mon addiction pornographique n’avait pas qu’impacté ma sphère intime, elle avait aussi touché ma vie sociale et personnelle. De nature timide, introverti et sans grande confiance en moi avec les femmes, j’ai vite compris que tout avait un lien. A l’époque, mon état d’esprit vis-à-vis des femmes était clair : je voulais coucher à tout prix avec elles pour être sûr d’accumuler le plus possible de conquêtes.
A côté de ça, j’avais beaucoup de mal à être sociable, surtout avec les hommes car je ne voyais pas en quoi cela allait me rapprocher de mon but : coucher avec des femmes. Ma dépendance pornographique me faisait beaucoup culpabiliser, mon estime de moi-même était basse car toute cette consommation m’entrainait dans la procrastination, le manque d’hygiène, d’énergie et d’ambition. Je n’entreprenais rien. Que ce soit dans des projets professionnels ou relationnels, soit je ne me lançais pas, soit je commençais mais je n’allais pas jusqu’au bout.
Goodbye Porno : comment faire pour arrêter de regarder des films X ?
Accro du porno et dépendance à la masturbation
Comprenant que cela me gâchait la vie, j’ai commencé à restreindre ma fréquence de masturbation devant du porno. Le piège, c’est que le porno m’avait aussi rendu accro à la masturbation. Je ne pouvais pas m’empêcher d’assouvir mes pulsions sexuelles plusieurs fois par semaine, parfois plusieurs fois par jour. Et j’ai bien compris que, même si la masturbation était un phénomène naturel, j’en abusais beaucoup trop. La dépendance au porno entraîne une dépendance à la masturbation ! Donc j’essayais de limiter aussi la masturbation, mais rien n’y faisait. J’avais besoin d’évacuer le stress et de trouver du réconfort soit dans les films X, soit dans la masturbation. Alors j’ai décidé de garder la masturbation pour me concentrer sur la source principale de tous mes maux : la pornographie.
Lorsque j’ai entrepris mon sevrage au porno à l’âge de 22 ans, j’avais une très forte motivation donc tout allait bien, mais vous savez comme moi que cette sensation ne dure pas lorsque l’on entreprend quelque chose de nouveau et qui nous tient à cœur. J’ai commencé à reconsommer, et à chaque rechute je me persuadais que c’était la dernière fois car je souffrais beaucoup de ne pas avoir réussi à me contrôler. Sur l’instant ça fonctionnait, car j’étais écœuré, mais la plupart du temps je replongeais quelques heures ou jours plus tard. C’était plus fort que moi, j’avais l’impression que le porno était une drogue.
Du soutien auprès d’autres porno addict
J’ai réussi à arrêter de regarder du porno et à observer des résultats sur la durée lorsque j’ai fait de sérieuses recherches sur le fonctionnement de l’addiction et sur les méfaits et dangers du porno. J’ai dû lire une centaine d’articles et de vidéos relatifs à la dépendance à la pornographie et à la masturbation pendant cette période. Je me suis rapproché de personnes qui menaient le même combat que moi ou qui avaient déjà réussi à sortir du porno. En parallèle, je me suis beaucoup introspecté. Je me rappelle encore ces moments seuls où j’essayais d’analyser mes pensées, mes désirs et mes pulsions. Et lorsque je me suis rendu compte que le porno s’était introduit dans mon esprit et dirigeait mes pensées, j’ai alors su qu’il fallait que je me positionne au-dessus d’elles pour en reprendre le contrôle.
A force d’efforts, de méthodes de contournement et de stratégies psychologiques, mes rechutes ont commencé à diminuer. Dix pornos par mois, huit pornos par mois, cinq par mois, quatre, trois… La progression n’était pas linéaire, mais elle pointait vers le bas. Et puis je m’en suis complètement détaché. Les tentations existeront toujours, et mon cerveau se souviendra à jamais des sensations de plaisir que le porno lui apportait. Et dans une société aussi érotisée et sexuelle que la nôtre, je me dois de vivre avec un certain degré de vigilance.
De porno addict à homme épanoui : comment se sevrer du porno
Plus le même homme
Si je devais expliquer ce que m’a apporté l’arrêt du porno, je vous l’illustrerai par la métamorphose de la chenille en papillon. La chenille représenterait le porno addict que j’étais, c’est à dire quelqu’un de très peu ouvert au monde, sans énergie et sans conviction. Le cocon illustrerait ma période de sevrage au porno où j’ai travaillé et fait des efforts pour arrêter les films X. Et le papillon, la personne que je suis devenue avec persévérance : un homme ouvert, pur et sain au fond de lui, prêt à partir à l’aventure et à découvrir de nouvelles expériences. Le processus fut progressif, je n’ai pas changé du jour au lendemain. Mais au fur et à mesure des mois et des semaines, mon état d’esprit, mes désirs et mes réflexions ont évolué. Peu à peu, les femmes ne devenaient plus une priorité absolue pour ma vie.
Je donnais davantage d’importance à mon propre être, non pas de manière égoïste, j’étais simplement plus respectueux et à l’écoute de ma personne. Je ne m’en rendais pas compte, mais lorsque j’étais accro au porn le centre de mon attention était porté sur les femmes et le sexe. Et c’est incroyable, pour avoir tant couru après cela, de m’apercevoir que lorsque l’on s’en détache on devient naturellement moins stressé et anxieux et plus confiant. Car la peur de ne pas être accepté ou validé par la gent féminine et de ne pas trouver une partenaire s’évapore. Et vous savez quoi ? C’est à partir de ce moment là que les résultats sont font ressentir auprès d’elles. Car les femmes ressentent lorsqu’un homme est bien dans son corps, dans son esprit et qu’il suit des valeurs qui lui sont propres et auxquelles il tient.
Après mon sevrage du porno, ma vie sexuelle s’est améliorée
Mes relations sexuelles se sont grandement améliorées. Je ne « baise » plus, désormais je « fais l’amour ». Et croyez-moi, il y a une nette différence entre les deux. La profondeur des émotions et des sentiments change radicalement lorsque l’on couche avec une femme non plus pour la « baiser », mais pour partager un instant merveilleux dans une relation sexuelle émotionnelle. Moins je regardais de porno, moins j’avais envie de réconforter mon égo en « traquant du gibier » et plus j’avais envie de créer des relations sincères et transcendantes avec les femmes (et même avec les hommes de manière amicale). Avant, je pouvais accepter un rendez-vous avec une femme qui ne me plaisait pas pour assouvir mes pulsions en couchant avec elle.
Maintenant, je ne réfléchis plus de la même manière. Si une femme ne me plait pas au point de créer en moi de fortes émotions, je ne recherche pas à jouer avec elle ou à coucher avec. Je lui parle dans le but de sympathiser sans m’imaginer quoique ce soit. La fatigue m’a quitté, emportant avec elle mes troubles sexuels et la honte que j’avais à regarder certaines catégories de films X. Je me suis ouvert au monde, je me suis mis à rechercher et à créer des expériences avec les autres au lieu de rester enfermé dans ma solitude et mon égoïsme.
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La pornodépendance m’a appris une bonne leçon
Je pourrais maudire le porno de m’avoir gâché tant d’années, mais en observant qui je suis devenu, je ne peux qu’être fier de mon passé. Car c’est en luttant contre cette addiction aux sites X que j’ai su trouver en moi des ressources dont je n’avais même pas soupçonné l’existence. La dépendance au porno nous fait perdre le contrôle de nos désirs et de nos pulsions sexuelles. Or, ce sont les forces internes les plus puissantes de l’homme. Donc si on retire à un homme la maîtrise de sa force et de sa puissance sexuelle, on le prive de sa masculinité et de sa liberté. Je voudrais partager avec vous une citation qui m’a beaucoup inspiré lorsque je l’ai découverte. Elle est de Judith Reisman (essayiste et conférencière américaine) et elle dit :
Être sexuellement puissant c’est avoir sa propre force. Être sexuellement impuissant, c’est avoir besoin de quelque chose d’extérieur pour avoir la force.
Je trouve qu’elle illustre bien le fait que si nous voulons en tant qu’hommes être forts sexuellement, nous ne devons pas dépendre d’un artifice pour satisfaire nos désirs. Nous devons nous suffire pour trouver du plaisir sexuel et pour jouir.
Et vous, êtes-vous accros au porno ?
Mon témoignage de porno addict vous a parlé ?
Si vous me lisez et que vous savez que vous ne pouvez pas passer plus d’un mois sans regarder de porno et sans avoir de crises d’angoisses et d’envies fréquentes d’en consommer. Si vous avez l’impression de ne pas être épanoui dans votre sphère intime, sociale ou personnelle : pas de panique. Vous venez d’ouvrir la porte d’un monde qui n’attend que vous. Un monde où vous pouvez contrôler vos pulsions, un monde où vous pouvez réussir à ne plus souffrir du jugement des autres (et encore moins des femmes). Un monde où vous pouvez sentir que vous vivez pleinement, sans contrainte et sans dépendance au sexe, aux femmes et aux pulsions.
Actuellement, vous ne pouvez pas imaginer ce monde, car il est bien plus beau que vous ne le pensez. Mais lorsque vous l’atteindrez, vous le verrez et le comprendrez. Une autre chose. Peut-être avez-vous ressenti que votre cœur a battu plus vite que d’habitude en lisant ce témoignage d’un porno addict. Peut-être avez-vous pensé que vous aviez besoin d’arrêter le porno. Bien. Sachez que vous n’êtes pas seul à le penser. De plus en plus d’hommes ont décidé d’arrêter de se laisser manipuler face à cette industrie mondiale au but purement lucratif. Ils ont compris que pour qu’ils soient heureux et épanouis dans leur vie, il fallait qu’ils commencent à faire leurs propres choix.
Rejoignez le combat d’autres porno addict
Si vous vous identifiez à cette mentalité, je vous invite à vous rendre sur Goodbyeporno.fr pour rejoindre une communauté d’hommes qui travaillent pour reprendre le contrôle de leur vie. On y apprend à accepter son addiction au film porno et sa dépendance pornographique. On y apprend aussi, bien sûr, toutes les techniques pour savoir comment arrêter la pornographie, et comment arrêter de regarder des films X. Et si vous savez déjà que vous voulez vous libérer de l’emprise de la pornographie, vous pouvez directement choisir de franchir un cap en réservant une séance de coaching avec moi-même. Je vous montrerai le chemin, vous avez juste à me le demander. Je vous souhaite tout le courage et la persévérance du monde dans ce combat.
Théo Moreau Consultant et Chercheur indépendant en Porno dépendance
Auteur de Goodbyeporno